absistō, stĭtī, ĕre, intr.
¶ 1 s'éloigner de : ab aliqua re
Cæs. G. 5, 17, 2,
de qqch. ; vestigiis hostis
Liv. 27, 42, 17,
s'éloigner des traces de l'ennemi, perdre les traces de l'ennemi ||
[poét.] ab ore scintillæ absistuntVirg. En. 12, 102,
des étincelles jaillissent de son visage
¶ 2 [fig.] cesser de, renoncer à :
a) [avec abl.] oppugnatione
Liv. 44, 12, 7,
renoncer au siège ; incepto
Liv. 25, 5, 5,
abandonner une entreprise, cf. 21, 6, 8 ;
24, 10, 15 ; etc.; continuando magistratu
Liv. 9, 34, 2,
cesser de maintenir sa charge, de se maintenir en charge, cf. 29, 33, 8 ;
b) [avec inf.]
Virg. En. 6, 399 ;
8, 403 ;
Liv. 7, 25, 5 ;
32, 35, 7 ; 36, 35, 4 ;
c) [abst] s'arrêter, cesser :
Virg. En. 1, 192 ;
Liv. 34, 8, 2 ;
36, 45, 3 ; 44, 39, 9 ;
absistamus
Virg. En. 9, 355,
tenons-nous-en là.
[poét.] ab ore scintillæ absistunt