absorbĕō, bŭī, ēre, tr., faire disparaître en avalant, absorber, engloutir :
Cic. Phil. 2, 67 ;
Hor. S. 2, 8, 24
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[fig.]Cic. Br. 282 ;
Leg. 2, 9 ;
tribunatus quodam modo absorbet orationem meam
Cic. Sest. 13,
son tribunat pour ainsi dire absorbe [accapare] mon discours.
↣ pf. absorpsiLuc. 4, 100 ;
Macr. Sat. 5, 1, 8.
[fig.]
↣ pf. absorpsi