adlĭcĭō, lēxī, lectum, lĭcĕre (ad, lacio) tr., attirer à soi : [en parlant de l'aimant]
Cic. Div. 1, 86 ; [en parlant des pers. ou des sentiments] : lectorem delectatione
Cic. Tusc. 1, 6,
attirer à soi (gagner) le lecteur en le charmant ; suis officiis benevolentiam alicujus
Cic. Verr. 2, 5, 182,
par ses bons offices gagner la bienveillance de qqn ; ad rem
Cic. Off. 2, 48 ;
Pomp. 24 ;
ad recte faciendum Phil. 2, 115,
amener à qqch., à bien faire, cf. Læl. 28 ;
Mur. 76 ;
cum in hunc sensum et adliciar beneficiis hominum et compellar injuriis
Cic. Fam. 1, 9, 21,
comme je suis dans ce sentiment et parce que m'y attirent des bienfaits et parce que m'y poussent des injustices ; Gallias
Tac. H. 1, 61,
gagner (s'attacher) les Gaules.
↣ pf. allicui dansCalp. Piso Frugi , d'après
Prisc. Gramm. 10, 3 ;
de là, chez les gramm., la mention de formes de la seconde conjugaison adlices, etc. :
Char. 244, 17 ;
Diom. 367, 11.
↣ pf. allicui dans