2 ærārĭus, ĭī, m., éraire [citoyen non inscrit dans une tribu, soumis à une capitation [æs] fixée arbitrairement, n'ayant pas le droit de vote ; c'était une flétrissure que d'être relégué dans la classe des éraires] : Liv. 4, 24, 7 ; 9, 34, 9 ; 24, 18, 8 ; 24, 43, 3 ; 27, 11, 15 ; 42, 10, 4 ; aliquem in ærarios referri jubere Cic. Clu. 122, faire reporter qqn [par le greffier] au nombre des éraires, cf. Liv. 24, 18, 8.