algĕō, alsī, ēre, intr., avoir froid : erudire juventutem algendo æstuando
Cic. Tusc. 2, 34,
façonner la jeunesse en lui faisant supporter le froid et le chaud ; algere et esurire consuerunt (nostri)
Cæl. d. Cic. Fam. 8, 17, 2, (les nôtres) ont l'habitude de souffrir le froid et la faim ; probitas laudatur et alget
Juv. 1, 74,
l'honnêteté reçoit des louanges et meurt de froid [on la laisse se morfondre].