ălĭundĕ, adv. (alius, unde),
¶ 1 d'un autre lieu : aliunde aliquid arcessere
Cic. Tusc. 4, 2,
faire venir qqch. d'ailleurs
¶ 2 [fig.] = ab (ex) alio, ab (ex) alia re : non aliunde mutuatus est laudem
Cic. Off. 2, 47,
il n'a pas emprunté sa gloire à autrui, cf. Tusc. 4, 4 ;
Nat. 3, 64,
etc.; non aliunde pendere
Cic. Fam. 5, 13, 1,
ne pas dépendre des choses extérieures ; agitari aliunde
Cic. Rep. 6, 27,
recevoir son mouvement d'un autre corps ; gigni aliunde
Cic. Rep. 6, 27,
tirer d'une autre chose son origine.