ascendō (adsc-), scendī, scēnsum, ĕre (ad, scando), intr. et tr. I intr.

¶ 1 monter : in oppidum Cic. Verr. 2, 4, 51 ; in Capitolium Cic. de Or. 2, 195 ; in equum Cic. CM 34 ; in cælum Cic. Mil. 97, monter à la place forte, au Capitole, à cheval, au ciel ; ad templum Liv. 42, 15, 5, monter au temple ; in trierem Nep. Alc. 4, 3, dans une trirème ; in murum Cic. de Or. 2, 100, sur les murs [de la ville]

¶ 2 [fig.] ad regium nomen Cic. Dej. 27 ; ad honores Br. 241, s'élever au titre de roi, aux magistratures ; in altiorem locum Cic. Clu. 110 ; Sulla 5, s'élever à une situation plus haute ; (fortuna) in quam postea ascendit Curt. 9, 8, 24, (la fortune) à laquelle il s'éleva plus tard ; super ingenuos Tac. G. 25 ; supra tribunatus Tac. D. 7, s'élever au-dessus des hommes de naissance libre, au-dessus des tribunats.

II tr.

¶ 1 jugum montis Cæs. G. 1, 21, 2 ; murum Cæs. G. 7, 27, 2 ; 7, 47, 7, etc., gravir le sommet d'une montagne, escalader un mur ; navem Sall. J. 25, 5 ; Nep. Hann. 7, 6 ; Liv. 23, 11, 5, monter sur un vaisseau ; equum Suet. Cæs. 61, monter un cheval ; si mons erat ascendendus Cæs. C. 1, 79, 2, s'il fallait gravir une montagne

¶ 2 [fig.] unum gradum dignitatis Cic. Mur. 55 ; altiorem gradum Cic. Off. 2, 62 ; summum locum civitatis Cic. Clu. 150, monter un seul degré dans les honneurs, à un degré plus élevé, au rang le plus considérable dans la cité.