cōnfessĭō, ōnis, f. (confiteor),
¶ 1 aveu, confession : alicujus rei
Cic. Div. 1, 33, etc.,
aveu de qqch. ; alicujus
Cic. Verr. 2, 5, 103,
l'aveu de qqn ; urgetur confessione sua
Cic. Verr. 2, 4, 104,
il est accablé par son propre aveu ; confessio de aliqua re
Cæl. d. Cic. Fam. 8, 8, 2 ;
Plin. 9, 18,
aveu au sujet de qqch. ||
[fig. de rhét.] :Quint. 9, 2, 17 ;
12, 1, 33
¶ 2 action de convenir de, reconnaissance : ea erat confessio, caput rerum Romam esse
Liv. 1, 45, 3,
c'était reconnaître que Rome était la capitale (2, 7, 7 ;
42, 47, 8) ; confessionem cedentis ac detrectantis certamen pro victoria habui
Liv. 21, 40, 2,
j'ai considéré comme une victoire l'aveu qu'il faisait en se retirant et en refusant le combat.
[fig. de rhét.] :