cōnfīdō, fīsus sum, ĕre, intr., se fier à, mettre sa confiance dans ; [avec dat.] equitatui Cæs. C. 3, 94, 5 ; legioni Cæs. G. 1, 40, 15, avoir confiance dans la cavalerie, dans une légion ; sibi confidere, avoir confiance en soi-même : Cic. Fl. 5 ; Clu. 63 ; Ac. 2, 36 ; Læl. 17, etc. ; Cæs. C. 3, 7, 2 ; 3, 10, 7 ; virtuti alicujus Cic. Phil. 5, 1, se fier au courage de qqn ; causæ suæ Cic. Verr. 2, 2, 69, avoir confiance dans sa propre cause (Mil. 61 ; Sest. 135, etc.) ||
[avec abl.] confidere aliquo Cic. Att. 8, 13, 2, avoir confiance en qqn ; natura loci Cæs. G. 3, 9, 3 ; fortunæ stabilitate Cic. Tusc. 5, 40, avoir confiance dans la nature d'une position, dans la stabilité de la fortune ; tam potenti duce confisi Liv. 24, 5, 12, confiants dans un chef si puissant ||
[abl. ou dat., douteux] : confisi viribus Cæs. G. 1, 53, confiants dans leurs forces, cf. Cic. Tusc. 5, 40 ; Sall. C. 52, 28, etc. ; [av. de] Apul. Plat. 2, 20 ; [av. in] décad. ||
[abst] avoir confiance : Pl. Merc. 856 ; Cic. Clu. 156 ; Mil. 78 ; Phil. 6, 14 ; Tusc. 1, 78 ; 3, 14 ; neque milites alio duce plus confidere aut audere Liv. 21, 4, 4, et les soldats sous aucun autre chef n'avaient plus de confiance et d'audace ||
[avec prop. inf.] avoir la ferme confiance, la ferme conviction que, espérer fermement que : Pl. Amph. 935 ; Capt. 167, etc.; Cic. Verr. 2, 5, 177 ; Cat. 1, 8, etc. ||
[avec ut] Plin. Min. Ep. 2, 5, 7 ||
[quod] Amm. 30, 8.