conquĭēscō, quĭēvī, quĭētum, ĕre, intr., se reposer [pr. et fig.] : ante iter confectum Cæs. C. 3, 75, 1, se reposer avant l'achèvement du trajet ; notatur maxime similitudo in conquiescendo Cic. de Or. 3, 191, on remarque surtout l'uniformité à l'endroit où la voix se repose [dans les finales]; quando illius sica conquievit ? Cic. Mil. 37, quand son poignard s'est-il reposé (a-t-il chômé) ? vectigal quod non conquiescit Cic. Agr. 1, 21, un revenu qui ne chôme pas, ne s'interrompt pas ||
ex laboribus Cic. Att. 1, 5, 7 ; a continuis bellis Cic. Balbo 3, se reposer des fatigues, de guerres continuelles (Mil. 68 ; Har. 46); in studiis Cic. Att. 1, 20, 7 ; Fam. 9, 6, 5 ; in amici mutua benevolentia Cic. Læl. 22, trouver le repos dans les études, dans le dévouement réciproque d'un ami ; in aliqua mensura honorum Sen. Ben. 2, 27, 4, se contenter (se tenir pour satisfait) d'une certaine mesure d'honneurs. ↣ formes sync. du parf. : conquiesti Cic. Fam. 1, 1, 1 ; conquierunt Cels. Med. 1, 3 ; conquierint Cels. Med. 6, 6, 34 ; conquiesse Afran. 341 ; Liv. 30, 13, 12 ||
conquieturus Cic. Mil. 68.