cōnsĕnēscō, sĕnuī, ĕre, intr.,

¶ 1 vieillir, arriver à un âge avancé : Ov. M. 8, 634, etc.; Suet. Gramm. 6

¶ 2 [fig.] vieillir, languir : Liv. 9, 19, 6 ; 35, 34, 7, etc. ; in commentariis rhetorum Quint. 3, 8, 67, vieillir (pâlir) sur les traités des rhéteurs ||
s'user, dépérir, se consumer : filia lacrimis consenescebat Cic. Clu. 13, la fille se consumait dans les larmes ; quamvis consenuerint vires Cic. CM 29, quel que soit le degré d'affaiblissement des forces ; invidia consenescit Cic. Clu. 5, la haine s'épuise ; omnes illius partis auctores ac socios consenescere Cic. Att. 2, 23, 2, [je te dirai] que tous les chefs et les adhérents de ce parti s'affaiblissent (perdent leur importance) ; noster amicus Magnus, cujus cognomen consenescit Cic. Att. 2, 13, 2, notre ami Pompée dont le surnom de Grand vieillit (perd de sa signification).