cōnsĕquēns, entis, part. prés. de consequor pris adjt,

¶ 1 [gramm.] bien construit : non consequens Cic. Part. 18, contraire à la construction

¶ 2

a) connexe : pro verbo proprio subicitur aliud, quod idem significet, sumptum ex re aliqua consequenti Cic. Or. 92, au mot propre on en substitue un autre, qui ait le même sens, pris à qq. idée voisine ;

b) ce qui suit logiquement : quid cuique consequens sit quidque contrarium Cic. Or. 115, [savoir] ce qui se rattache logiquement à un objet et ce qui est en contradiction avec lui (Fin. 4, 55) ||
consequentia Cic. Or. 16, les conséquences logiques (de Or. 2, 166 ; Leg. 1, 45) ||
consequens est avec prop. inf. Cic. Tusc. 5, 18, il s'ensuit logiquement que ||
consequens est avec ut subj., il est raisonnable, logique que : Cic. Leg. 1, 15 ; [avec prop. inf.] Quint. 5, 10, 77.