cūr, adv. interrogatif,

¶ 1 [direct] pourquoi ? : Pl., Ter., Cic., Cæs., etc. ||
[avec une prop. inf.] : Liv. 5, 24, 5 ||
[poét. après plus. mots] : Hor. S. 2, 7, 104

¶ 2 [indirect, avec subj.] : duæ sunt causæ cur Cic. Fam. 15, 20, 2 ; non fuit causa cur Cic. Clu. 169 ; quæ causa est cur Cic. Læl. 48 ; quid est causæ cur Cic. Fl. 5 ; adferre rationem cur Cic. Fam. 6, 8, 1 ; Phil. 2, 56, il y a deux raisons, il n'y avait pas de raison, quelle raison y a-t-il pour que ; apporter une explication pour justifier que ; argumentum adferre cur Cic. Nat. 3, 10, apporter une preuve que ; quid est cur Cic. de Or. 1, 69, quelle raison y a-t-il pour que ; nihil habet in se gloria cur expetatur Cic. Tusc. 1, 109, la gloire n'a rien en soi qui justifie qu'on la recherche ; nihil necessitatis adfert, cur nascantur animi, similitudo Cic. Tusc. 1, 80, la comparaison n'apporte aucune preuve décisive d'une naissance de l'âme ; mora, cur non extemplo oppugnarentur, ea fuit, quod... Liv. 32, 32, 5, le retard expliquant qu'on ne les attaquât pas sur-le-champ vint de ce que... ↣ arch. quor Pl. Amph. 409 ; As. 591, etc. ; qur Pl. Amph. 581 ; Epid. 575, etc. ; CIL 1, 2189 ; cf. Prisc. Gramm. 1, 48.