dĕcet, dĕcŭit, dĕcēre (cf. decor, decus), convenir, être convenable, être séant, cf. Cic. Or. 74 ; 210 ||
[3~constructions : avec un sujet nom de chose et un compl. nom de personne à l'acc., qqf. au dat. ||
avec un inf. et un acc. nom de pers., qqf. un dat. ||
impers.]:

¶ 1 aliquem res decet, res decent Cic. Or. 78 ; Off. 1, 113, une chose va bien, des choses vont bien à qqn ||
videre quid deceat Cic. Or. 70, voir ce qui convient (τὸ πρέπον), cf. Off. 1, 125 ; quod contra decuit Cic. CM 84, ce qui aurait dû être le contraire ||
[dat.] : istuc facinus nostro generi non decet Pl. Amph. 820, c'est là un crime qui ne sied pas à ma race

¶ 2 oratorem irasci minime decet Cic. Tusc. 4, 54, il ne sied pas du tout à l'orateur de se mettre en colère ; [inf. pass] Tusc. 1, 32 ; Virg. En. 12, 797 ; Liv. 34, 58, 8 ||
exemplis grandioribus decuit uti Cic. Div. 1, 39, il convenait de prendre des exemples plus imposants ||
[dat.] Ter. Hec. 164 ; Dig. 32, 1, 23

¶ 3 facis ut te decet Ter. Andr. 421, tu agis selon ton devoir ||
minus severe quam decuit Cic. Phil. 6, 1, avec moins de rigueur qu'il n'aurait fallu ||
[dat.] : ita nobis decet Ter. Ad. 928, c'est notre devoir, cf. Haut. 965 ; Sall. H. 1, 98.