dĕcŭs, ŏris, n. (decet), tout ce qui sied, tout ce qui va bien, ornement, parure, gloire, illustration : decora fanorum Cic. Verr. 2, 4, 97, les ornements des temples ; decus senectutis Cic. de Or. 1, 199, parure de la vieillesse ; verum decus in virtute positum est Cic. Fam. 10, 12, 5, la véritable illustration réside dans la valeur personnelle, cf. Br. 59 ; Phil. 2, 54 ; Off. 1, 124 ; decora Corneliæ gentis Liv. 38, 58, 3, les actions d'éclat de la famille Cornélia, cf. 3, 12, 2 ; militiæ Liv. 2, 23, 4, exploits militaires, cf. 3, 11, 6 ; 6, 20, 7 ||
decora Sulpiciæ Tac. H. 1, 15, l'illustration [= la noblesse illustre] de la gens Sulpicia ||
[philos.] bienséance, ce qui sied, la dignité morale, l'honneur, etc. : Cic. Off. 1, 17 ; 1, 124 ; Leg. 1, 55 ; Fin. 2, 44, etc.