dēdĕcet, cŭit, ēre [p. la constr. v. le verbe decet], ne pas convenir, être malséant :
¶ 1 non illam motæ dedecuere comæ
Ov. Am. 1, 7, 12,
ses cheveux en désordre ne lui messeyaient point, cf.
Hor. O. 1, 38, 7 ;
Tac. Ann. 2, 43 ;
si quid dedecet
Cic. Off. 1, 146,
s'il y a qqch. de malséant
¶ 2 oratorem simulare non dedecet
Cic. Tusc. 4, 55,
il ne messied pas à l'orateur de feindre ||
[avec inf. pass.]Quint. 11, 3, 124
¶ 3 ut ne dedeceat
Cic. de Or. 1, 132,
en évitant la messéance
¶ 4 [poét., constr. personnelle] : non dedecui tua jussa
Stat. Th. 10, 340,
j'ai rempli tes ordres convenablement ; Pomponius Atticus dedecere Claudiorum imagines videbatur
Tac. Ann. 2, 43,
Pomponius Atticus [= l'image de Pomponius...] semblait ne pas cadrer avec les images des Claudii.
[avec inf. pass.]