ĕquus (ĕcus), ī, m.,

¶ 1 cheval : equo optime uti Cic. Dej. 28, être excellent cavalier ; v. ascendere, conscendere, descendere, desilire : duo juvenes cum equis albis Cic. Nat. 2, 6, deux jeunes gens montés sur des chevaux blancs ; ex equis pugnare visi sunt Cic. Nat. 2, 6, on les vit combattre à cheval ; quid legati in equis ? Cic. Pis. 60, que signifient ces lieutenants à cheval ?

¶ 2 cheval [= cavalerie] : equo merere Cic. Phil. 1, 20, servir dans la cavalerie : ad equum rescribere Cæs. G. 1, 42, 6, faire passer dans la cavalerie ; equis virisque Liv. 5, 37, 5, en faisant donner la cavalerie et l'infanterie ; [fig.] equis viris Cic. Phil. 8, 21, par tous les moyens

¶ 3 cheval des chevaliers : equus publicus, privatus Liv. 27, 11, 14, cheval fourni par l'État, fourni par le particulier, v. traducere, adimere

¶ 4 emplois divers :

a) les chevaux = les courses de char : Virg. En. 9, 777 ; in equis ire Ov. Ars 1, 214, aller dans un char ;

b) machine de guerre : Plin. 7, 202 ;

c) le cheval de Troie : Virg. En. 2, 112 ;

d) Pégase [constellation] : Cic. Nat. 2, 111 ; Col. Rust. 11, 2, 31 ;

e) equus bipes Virg. G. 4, 389 ; cheval marin ; equus fluviatilis Plin. 8, 30, hippopotame ; equus ligneus Pl. Rud. 268, navire.