mīrus, a, um, étonnant, merveilleux : mirum desiderium urbis Cic. Fam. 2, 11, 11, un désir étonnant de revoir la ville ; mirus civis Cic. Att. 15, 29, 2, un merveilleux citoyen, cf. Cic. Att. 3, 18, 2 ; mirum in modum Cæs. G. 1, 41, 1, d'une manière surprenante ; multa mira facere Cic. Rep. 5, 9, faire beaucoup de choses merveilleuses ||
mirum mihi videtur, quomodo Cic. Div. 2, 146, je me demande avec surprise comment, cf. Cæs. G. 1, 34, 4 ; mirum est, ut Plin. Min. Ep. 1, 6, 2, il est étonnant comment, cf. Plin. Min. Ep. 4, 7, 1 ||
quid mirum... si ? qu'y a-t-il d'étonnant, si ? non mirum si, il n'est pas étonnant si : [avec ind.] Cic. Nat. 1, 77 ; Div. 2, 114 ; Mur. 24 ; Har. 8 ; CM 32 ; [avec subj.] s'il arrive que : Cic. Læl. 29 ; Div. 2, 81 ; Amer. 22 ; 131 ||
mirum ni, nisi ; mira sunt ni, nisi, il serait étonnant si... ne... pas, [c.-à-d.] très probablement, sans doute : Pl. Amph. 283 ; Capt. 805 ; Ps. 1216 ; Trin. 861 ; Cæcil. 101 ; Ov. M. 7, 12 ||
mirum quin Pl. Trin. 495 ; 967 ; etc., c'est une merveille comment ne... pas, il ne manquerait plus que cela que, évidemment ne... pas... ||
non est mirum, ut Cic. Div. 2, 66, il n'est pas étonnant que ||
[expr. adverbiale] mirum quam, mirum quantum, étonnamment, extraordinairement : Cic. Att. 13, 40, 2 ; Liv. 2, 1, 11 ; v. quam § 8 et quantum fin. ↣ comp. mirior Titin. 161 ; mirius Varro Men. 206.