perlĭtō, āvī, ātum, āre, intr., faire un sacrifice agréable aux dieux, obtenir des présages favorables : Liv. 41, 14, 7 ; 41, 15, 3 ||
[pass. impers.] Liv. 36, 1, 3 ; diu non perlitatum tenuerat dictatorem Liv. 7, 8, 5, des sacrifices longtemps défavorables avaient retenu le dictateur ||
tr., res divinæ perlitatæ V. Ant. d. Gell. 1, 7, 10, sacrifice agréé des dieux.