subrĭpĭō (surr-), rĭpŭī, reptum, ĕre, tr.,
¶ 1 dérober furtivement, soustraire : ex sacro vasa
Cic. Inv. 2, 55,
soustraire des vases à un sanctuaire, cf.
Cic. Domo 66 ;
Pl. Pœn. 1247 ;
aliquid ab aliquo
Cic. Br. 76,
dérober furtivement qqch. à qqn ; [alicui aliquid
Sen. Ep. 108, 34] ; de mille fabæ modiis unum
Hor. Ep. 1, 16, 55,
sur mille mesures de fèves en voler une ||
se alicuiPl. Mil. 333,
se dérober à qqn, cf.
Hor. O. 4, 13, 20
¶ 2 [fig.] virtus quæ nec eripi nec surripi potest
Cic. Par. 51,
la vertu qui ne peut être enlevée ni ouvertement, ni furtivement, cf.
Cic. Verr. 2, 1, 10 ;
aliquid spatiis surripere
Cic. Att. 5, 16, 1,
dérober qqch. sur ses instants.
↣ subj. pf. surrepsit
Pl. Mil. 333
||
formes subrupio, rupui, ruptum, ĕrePl. Aul. 39 ;
347 ; Capt. 292 ;
Trin. 83
||
part. sync. surptusPl. Pers. 150 ;
Rud. 1105
||
formes sync. surpiteHor. S. 2, 3, 283 ;
surpuit
Pl. Capt. 8, etc.;
surpuerat
Hor. O. 4, 13, 20 ;
surpere
Lucr. 2, 314.
se alicui
formes subrupio, rupui, ruptum, ĕre
part. sync. surptus
formes sync. surpite