2 sūmptŭs, ūs, m., coût, dépense, frais : exiguus sumptus ædilitalis fuit
Cic. Off. 2, 59,
il n'y a eu que de modiques dépenses pour mon édilité ; perpetuos sumptus suppeditare
Cic. Off. 2, 42,
fournir aux dépenses continuelles, cf.
Cic. Att. 11, 13, 4 ;
sumptu [dat.] ne parcas
Cic. Fam. 16, 4, 2, [je te prie] de ne pas regarder à la dépense ; adventus noster nemini ne minimo quidem fuit sumptui
Cic. Att. 5, 14, 2,
mon arrivée n'a pas coûté même la moindre chose à personne ; suo sumptu equitatum alere
Cæs. G. 1, 18, 5,
entretenir de la cavalerie à ses frais ; sumptu publico
Cic. Verr. 2, 5, 45,
aux frais de l'État ; in militem sumptum facere
Cic. Pomp. 39,
faire des dépenses pour l'entretien des soldats, cf. Fam. 12, 30, 4 ;
Att. 5, 16, 3 ;
sumptum nusquam melius posse poni
Cic. Q. 3, 1, 3, [j'affirme] qu'on ne peut nulle part employer mieux son argent ; sumptum dare
Cic. Inv. 2, 87,
fournir à (allouer pour) une dépense.
↣ gén. arch. sumpti
Cæcil. 180 ;
Turpil. Com. 172 ;
Cato Agr. 22, 3
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[v. en part.] sūmptī făcĭō, fecī, factum, ĕre, tr., faire la dépense de : restim sumpti fecerimPl. Cas. 425,
je ferais la dépense d'une corde ; quod facit sumpti
Pl. Trin. 250,
ce qu'il dépense, cf.
Lucil. Sat. 1050 ;
Varro Men. 52
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souv. dat. sumptu, v. plus hautCic. Fam. 16, 4, 2.
[v. en part.] sūmptī făcĭō, fecī, factum, ĕre, tr., faire la dépense de : restim sumpti fecerim
souv. dat. sumptu, v. plus haut